Le club StarinuX : Linux Logiciel Libre et Opensource

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  • ven 1er décembre  

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    Google , Amazon , Facebook , Apple , Microsoft

    GAFAM EST DEVENU GAFA, ON A OUBLIÉ LE "M"

    Comme c'est curieux ! Subitement, GAFAM est devenu GAFA, le "M" de Microsoft a subitement disparu du GAFAM comme par enchantement.
    SOS , il faut absolument retrouver le M !

    Pourtant cette société en fait bien partie, son siège social est implanté en Irlande, elle réalise un chiffre d'affaires colossal, ne payant que de succints impôts irlandais, alors pourquoi l'avoir omise dans la liste ?

    Seraient-ce ? :
    - Notre Défense Nationale qui a choisi d'équiper son informatique avec cette firme,
    - D'avoir confisqué l'informatique Libre de nos écoles au profit de cette société,
    - D'avoir confié l'informatique de cette entreprise à notre ministère de la Culture,
    - Le gros chèque versé à la France par le PDG de la firme en 2017,
    - Une part de marché de 80% des systèmes d'exploitation des ordinateurs grand public...

    Si c'est le cas (très probable) alors les autres GAFA ne devraient pas être dans la ligne de mire du gouvernement en vue du paiement d'une taxe de 500 millions d'Euro par an, équité oblige.

    Le gouvernement (le ministre des finances en tête) ne cesse de reparler de cette taxe GAFA(M) et tiens... avant les élections européennes, mais va t-il finalement l'obtenir avant, voire après ?

    LA SUITE :
    Le sigle GAFAM (son acronyme utilisé pour désigner de manière générique les géants du Web, en évoquant Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) ont bouleversé nos vies de manière spectaculaire en moins de vingt ans. Ces sociétés privées américaines sont devenues, à notre insu, sans notre consentement, indispensables à notre quotidien et à notre économie. Elles nous on été imposées !

    Elles façonnent nos relations sociales et professionnelles, elles bouleversent notre manière de consommer et modifient par conséquent le paysage économique, elles accaparent notre attention, le fameux temps de cerveau disponible, elles exploitent nos informations personnelles, devenues l'or gris du 21ème siècle, elles nous tracent et nous profilent pour mieux nous rentabiliser.

    Plus inquiétant encore, elles jouent les prophètes d'une certaine vision politique du monde.

    Des idées dans l'air du temps sont relayées avec zèle et les algorithmes s'attèlent à redéfinir nos goûts, nos rêves, nos aspirations, nos convictions, quel que soit notre pays d'origine. Elles censurent les opposants ou, plus pernicieux encore, pratiquent le shadow banning pour les rendre invisibles. La mort numérique signifiant à notre époque la mort politique.

    Insaisissables, elles sont les championnes de l'optimisation fiscale, terme pudique pour ne pas dire évasion. Tels de gros poissons dans l'eau, elles évoluent sans obstacle ou presque dans un système mondialisé taillé sur mesure pour elles.

    Leur puissance est devenue un enjeu géopolitique et de souveraineté majeur.
    La plupart des gouvernements sont, selon les cas, complices, naïfs, dépassés ou démunis. Alors que faire ?

    Cette avis réalisé par un collectif de juristes spécialisés sur le sujet, tente de répondre à cette question essentielle en proposant quelques pistes de régulation de ces géants du Web. Le défi est immense, il s'agit tout simplement de prouver que la politique n'a pas dit son dernier mot.   Affaire toujours à suivre...

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